Un gros coquillage collé à l’oreille pour écouter la mer, le corps enduit d’huile de monoï enroulé dans sa serviette éponge, on ferme les yeux très fort pour faire apparaître des images endormies d’un paradis au goût de miel, de mangue ou de banane. Iles flottantes, peaux caramel, champs d’agrumes ou de vanille, lagons, atolls, palmiers et bois flotté. Loin des villes et du bruit, là où le temps s’immobilise… aux antipodes de sa salle de bain exactement. A ce stade, le diagnostic est formel : on est mûr pour une trêve de rêve!
Il est temps d’aller s’assurer par soi-même que le paradis est bien plus proche qu’on ne le croit…