Transports : comment se déplacer en Turquie ?

Conduire en Turquie

État des routes

La qualité du réseau routier turc est excellente dans les zones touristiques (les côtes méditerranéennes, la Cappadoce). Les autoroutes sont de plus en plus nombreuses, peu chères et bien entretenues sur l’ensemble du pays. Au nord et à l’est du pays, les routes sont moins fiables et souvent en mauvais état à la fin de l’hiver.

Code de la route

Les codes signalétiques routiers sont identiques à ceux de la France, tout comme le code de la route. Les panneaux jaunes au bord des routes signalent des sites touristiques. Les limitations de vitesse sont, en règle générale, de 50 km/h dans les agglomérations, 90 km/h sur route et 120km/h sur autoroute.

Autres moyens de transport

Avion

La Turquie étant un petit continent en soi, les vols intérieurs sont le moyen le plus rapide de se déplacer entre Istanbul, les côtes ou la Cappadoce… Plusieurs compagnies assurent ces liaisons dont la compagnie nationale, Turkish Airlines, qui a l’avantage de pouvoir connecter vol intérieur et international sans avoir à réenregistrer ses bagages.

Il est recommandé de se présenter à l’aéroport au moins 2 h avant l’heure du vol intérieur. En cas de connexion à Istanbul pour un vol international, il faut repasser la douane où l’attente peut être longue.

Ferry

Des ferries permettent de traverser la mer de Marmara pour rejoindre Bursa en embarquant votre véhicule à bord. Dans le sud, ils permettent de passer de Bodrum à Datça en réduisant considérablement le temps de route. Si vous avez réservé un ferry par nos soins, les billets et indications précises vous seront remis sur place par notre correspondant.

Taxi

Les taxis individuels sont jaunes et presque toujours de marque Tofas. La tarification se fait au compteur, le prix ne se négocie pas. Il est de coutume d’arrondir la somme en laissant un petit pourboire. Les dolmus sont des petits taxis (mini-van) qui permettent de rejoindre les villages les plus éloignés.